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Mortalité infantile : Les « performances » de la Direction de la santé de la mère et de l’enfant du Dr Oumar Sarr…

L’Enquête démographique et de santé (IDS) de 2017 a été publiée. Des performances ont été réalisées par la Direction de la Santé de la mère et de l’enfant dirigée par le Dr Oumar Sarr. Lors d’un entretien avec senego, il est revenu sur les avancés « très notables réalisées.  »

« Les résultats de l’Enquête démographique et de santé de 2017 ont montré des performances très notables dans le domaine de la Santé de la mère et de l’enfant, dont j’ai l’honneur, en tout cas d’être à la tête, sous la supervision du ministre de la Santé, de l’Action sociale, M. Abdoulaye Diouf Sarr…  » , souligne Dr Sarr. Ainsi, à titre d’exemple, pour la mortalité maternelle, en 2012, il rappelle qu’on était à 392 décès pour 100 000 naissances vivantes. En 2017-2018, « on en est à 236 décès pour 100 000 naissances vivantes…  » , d’où un « saut qualitatif…  » , s’est-il félicité.

« Cela est dû aux actions que M. le président de la République a faites, dans le renforcement des ressources humaines, notamment des sages-femmes qui ont été recrutées en masse. Mais aussi grâce aux interventions à hauts impacts que nous avons mises en place dans toutes les régions du Sénégal. Concernant la mortalité infanto-juvénile, donc des enfants, nous sommes passés de 72 décès, pour 1 000 naissances vivantes à 50 décès pour 1 000 naissances vivantes en 2017  » , soit 22 points « extrêmement importantes gagnés  » , en cinq (5) ans, par la direction qu’il dirige. Bien que le Dr Sarr reconnait qu’il y a du chemin à parcourir.

Par rapport à la contraception, la planification, en 2012, ils en étaient à 12% de prévalence contraceptive. Ainsi, de nos jours, « on est plus de 26% de prévalence contraceptive. Cela est dû au fait que nous avons le personnel qu’il faut, les infrastructures qu’il faut, mais aussi tous les intrants, notamment les produits PF qui sont disponibles…  »

« Pour les accouchements assistés par du personnel qualifié, parce que c’est ce qui sécurise les accouchements, la vie de la mère et celui du nouveau né, nous sommes passés en 2012 de 51% à plus de 70% en 2017-2018. Ce qui montre le saut qualitatif dans ce domaine  » , précise-t-il. « Si nous continuons dans cette dynamique, nous pouvons être sûrs d’être au rendez-vous des objectifs de développement durable concernant les indicateurs sur la santé, sur l’enfant et sur l’adolescent… », s’est félicité Dr Oumar Sarr.

Khalil Kamara

Publié le 25-03-2019 dans senego

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