31 août 2020
Le Groupe Technique Santé de la Reproduction (GTSR) et le Réseau de la Société civile pour la Nutrition (RESONUT), ont, à travers une session de formation à l’endroit d’une vingtaine de journalistes, ce vendredi 28 août 2020, présenté le dossier d’investissement sur la Santé Reproductive, Maternelle, Néonatale, Infantile, des Adolescents et de la Nutrition (SRMNEA-N).
Le Burkina Faso passe à l’étape de l’élaboration du dossier d’investissement relatif à la Santé Reproductive, Maternelle, Néonatale, Infantile, des Adolescents et de la Nutrition (SRMNEA-N). Pour faire adopter ce dossier à la population et aux partenaires financiers, le Groupe Technique Santé de la Reproduction (GTSR) et le Réseau de la Société civile pour la Nutrition (RESONUT), ont initié une formation à l’endroit des journalistes, afin qu’ils puissent faire un meilleur relais de l’information.
Le dossier d’investissement est selon Harouna Ouédraogo, Directeur exécutif de SOS Jeunesse et Défis, un référentiel, où les priorités concernant la santé de la mère et de l’enfant, du nouveau-né, de l’adolescent, la nutrition, l’Etat civil s’y trouvent. C’est un référentiel que tout le monde peut utiliser, confie-t-il.
Les acteurs de la santé ont loué les avantages du dossier d’investissement. Elaboré de façon participative par le ministère de la santé, selon les explications de Palm Sanou, de la direction du partenariat pour le financement de la santé au ministère de la santé, il a ajouté que ce dossier a vu le jour pour booster un certain nombre d’indicateurs de santé notamment les indicateurs qui ont attrait à la femme et à la jeune enfance et a été élaboré avec l’appui de la Banque mondiale.
Une autre actrice de la santé, Nadine Tamboura, Secrétaire Technique Chargée de la Coopération et du Développement Sanitaire précise que le document fait le point de la situation au Burkina dans le domaine de la santé de la mère et de l’enfant, fait le point sur les goulots d’étranglements et les solutions que l’on peut apporter, identifie les priorités dans ce domaine et apporte un élément financier pour dire si l’on met tant de francs dans ces domaines-là, on aura tant de vies sauvées.
Les acteurs de la santé ont salué les efforts des partenaires financiers, qui malgré la COVID-19, restent engagés au dossier d’investissement et espèrent que d’autres partenaires adopteront ledit dossier.
Le projet concerne trois zones prioritaires, continue jusqu’à 2023. Le projet a démarré timidement. Mais avec les ressources qui sont attendues, nous allons aboutir à des résultats probants positifs, confia Palm Sanou.
Irmine KINDA
Publie le 28-08-2020 dans Burkina24
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